Pas plus de six à table. Pour beaucoup cette annonce a eu l’effet d’une bombe. Plus de repas du dimanche, plus de repas entre amis, plus de goûters chez mamie. Moi j’ai eu beau chercher, je n’ai jamais vraiment connu de repas avec plus de 6 convives à table. Et encore 6, c’était dans les grandes occasions des bonnes périodes. Alors bon, 6 … j’avoue que cela ne m’a pas fait grand-chose.
De manière générale, si je ne suis pas à la fac ou en vacances chez quelqu’un, je mange seule, je me prépare à manger, je dois trouver des idées. Et seule, je suis à court, d’idées, d’envie, de faim. Je ne les connais pas ces repas de grandes tablées conviviales, enfin j’en ai bien vu quelques-uns un peu en touriste, mais pas de quoi sentir le manque de souvenirs vécus.
6 à table. Plus, si nous l’avions voulu, nous ne le pouvons plus. Nous ne pouvons plus, non plus, manger en tête à tête et rentrer tard par les derniers métros. Rentrer tard, manger ailleurs, sans s’être préoccupé de rien. Se faire préparer à manger par quelqu’un, voilà ce qui me manque, à moi.
Même étudiant nous le faisons, trouver un temps, un peu d’argent, pour manger, ensemble. Ces plats-là ils ne sont pas de moi, mais de copains qui aiment, eux-aussi, prendre soin de nos estomacs avant un théâtre, après une session de travail.
La salade composée
Faire revenir un oignon dans de l’huile d’olive puis cuire les escalopes de poulets que vous aurez découpé ensuite en aiguillette et les poivrons en lamelles. 6 minutes dans l’eau frémissante pour un œuf mollet parfait. Sur un lit de salade déposer le tout et parsemer de morceaux de chèvre, tout en simplicité !
L’omelette
Pour deux bons mangeurs, nous avions au moins 4 œufs battus. Nous les ajoutons dans une poêle dans laquelle préalablement avaient été revenus ½ oignons et des poivrons rouge et vert. Ajouter du chorizo et de l’emmental râpé, le tout accompagné d’une salade.
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