Métro, apéro, amigo

De nos solitudes enfermées aux retrouvailles enflammées, nous avons su subsister
En septembre sur les quais, en décembre assis à même les parquets
Nous avons de nos pieds foulés les pavés d’un Paris déserté
Rêvant de la mer et des heures où nous pouvions nous évader

On ne fête pas les anniversaires d’amitié, on n’en souffle pas les bougies
Pourtant nous nous voyons grandir, des pizzas aux premiers whiskys
Nous nous voyons enfants, dégustant à pleine bouche des cookies
Chacun de ses apéros avec vous, est pour moi, une douce folie


Houmous, roulés de pesto, guacamole, tout y est !


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