Refuge en chocolat

Parce que cette année, les refuges ont été nos chambres, perchées au-dessus des toits, perchées au-dessus de nos soucis, perchées haut bien au-delà de nos maux. Finalement ce n’est que deux nuits que ton âme amie m’a recueillie, loin de tout et proche du reste. Tu m’as nourrie, je t’ai nourrie. Tu m’as sourie, nous avons ri. Deux amies, aux 7e étages, des plats dans les papilles et un verre de vin au creux des mains.


La saveur de ces instants avec toi qu’il me restera, est celle d’un gâteau au chocolat.


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